Amma

 

" L'amour est notre véritable essence.

L'amour ne connaît pas de frontières de caste, de religion, de race ou de nationalité.

Nous sommes tous des perles enfilées sur le même fil de l'amour. " - Amma


Sri Mata Amritanandamayi Dévi

Grâce à ses extraordinaires actes d'amour et de sacrifice de soi, Mata Amritanandamayi ou Amma (Mère) comme on l'appelle, est devenue chère à des millions de gens dans le monde. Elle caresse avec tendresse toute personne qui vient à elle et la serre sur son cœur dans une étreinte pleine d'amour. Amma répand son amour infini sur tous, sans se préoccuper de leurs croyances, de ce qu'ils sont ni de la raison qui les a amenés à elle. Par ce moyen simple, mais puissant, Amma transforme la vie d'un nombre incalculable de personnes et aide leur cœur à s'épanouir. En 36 ans, Amma a pris dans ses bras et étreint plus de 26 millions de personnes, issues de toutes les parties du monde.

Son dévouement inlassable au service d'autrui est à l'origine de la création d'un vaste réseau d'activités caritatives grâce auquel les gens découvrent la beauté et la paix que l'on retire du service désintéressé. Amma enseigne que le Divin est présent dans tout ce qui est, animé comme inanimé. Percevoir l'Unité qui sous-tend tout ce qui existe est l'essence de la spiritualité.

L'enseignement d'Amma est universel. Quand on lui demande quelle est sa religion, elle répond que c'est l'Amour. Elle ne demande à personne de croire en Dieu ni de changer de religion ; elle nous demande simplement de chercher à connaître notre nature réelle et d'avoir foi en nous-mêmes.

" Ma religion est l'Amour. "

La Vie d'Amma :

Au matin du 27 septembre 1953, dans un petit village de la côte du Kérala au Sud de l'Inde, au sein d'une famille d'humbles pêcheurs, naquit une petite fille au teint étonnamment bleu-foncé. Ses parents l'appelèrent Soudhamani. Alors que les bébés, d'ordinaire, pleurent à la naissance, Soudhamani vint au monde avec un sourire radieux, comme pour annoncer la joie qu'elle allait bientôt apporter au monde.

C'était une petite fille remarquable qui montra dès l'enfance de nombreux signes inhabituels. Elle commença à marcher à six mois. La dévotion envers Dieu était une part intégrante de sa nature. Ses parents la trouvaient parfois absorbée dans un état de profonde méditation, totalement perdue à ce monde.

A l'âge de cinq ans elle composait de petits chants dévotionnels dédiés à Sri Krishna ; ces chants exprimaient de profondes vérités mystiques. Elle exprimait son cœur et son âme à travers ces mélodies, sa douce voix devint une source de grande joie pour les villageois. Alors que Soudhamani n'avait que neuf ans, sa mère tomba malade et l'entière responsabilité de la maison retomba sur les épaules de la petite fille : préparer les repas, laver le linge, nettoyer la maison, faire la vaisselle, traire les vaches, les nourrir, assurer l'approvisionnement en eau. Elle fut finalement contrainte de quitter l'école, alors qu'elle y était la meilleure élève. Elle s'occupa de ses frères et sœurs, de ses parents et des vaches, sans jamais se plaindre malgré cette charge de travail éreintante. Elle offrait au Seigneur chaque minute de ses longues heures de travail. Les membres de sa famille, irrités par son comportement auquel ils ne comprenaient rien, la méprisaient et la maltraitaient mais elle acceptait tous les obstacles comme un moyen employé par le Seigneur pour la rapprocher de lui. Son seul réconfort et son seul soutien était le souvenir de son bien-aimé Krishna. Quand son travail était terminé, vers minuit, Soudhamani, au lieu de s'effondrer et de dormir, passait la nuit à méditer, à chanter et à prier.

L'amour et la compassion envers tous les êtres humains est une autre qualité qu'elle manifesta clairement dès l'âge tendre. Il lui fallait entre autres se rendre dans les maisons du voisinage et récolter de la nourriture pour les vaches. Elle écoutait alors avec patience les malheurs des uns et des autres, surtout des personnes âgées qui lui confiaient souvent comment leurs enfants adultes et leurs petits-enfants les négligeaient et les maltraitaient. Leurs récits montraient à Soudhamani que les mêmes personnes qui, enfants, priaient Dieu d'accorder la santé et une longue vie à leurs parents, les maudissaient lorsqu'ils devenaient âgés et infirmes. Elle comprit que l'amour humain est égoïste, inconstant et limité, que les êtres humains n'ont qu'un seul véritable ami en ce monde : Dieu. Son amour seul est toujours présent, constant et inconditionnel.
Le spectacle de la cruauté et de l'égoïsme du monde, de la douleur et de la souffrance qu'il entraîne, ne fit qu'accroître l'amour de Soudhamani pour Dieu et son désir de Le réaliser. Bien qu'elle ne fût qu'une enfant, sa quête du Divin avait maintenant un autre but : soulager la misère des autres.

Soudhamani faisait tout ce qu'elle pouvait pour soulager les souffrances de ses voisins et leur apportait même de la nourriture de chez ses parents. Lorsqu'elle donnait ainsi des choses prises chez elle, il arrivait bien souvent qu'elle se fasse battre. Mais aucune punition ne pouvait l'empêcher de manifester sa compassion innée. Lorsque Soudhamani parvint à l'adolescence, son amour pour le Seigneur atteignit des proportions indescriptibles. Ses extases se firent de plus en plus fréquentes, elle dansait et chantait, ivre de Dieu et totalement perdue au monde. Elle eut bientôt des visions de Krishna, voyant Sa forme vivante en chaque objet. Aux yeux de Soudhamani, l'essence de l'univers entier était Krishna, et Krishna seul. En peu de temps, Soudhamani accéda à une union profonde et mystique avec son Seigneur, une union si complète qu'elle ne pouvait plus distinguer entre Krishna et son propre Soi. La seconde phase des pratiques spirituelles de Soudhamani commença lorsqu'elle eut un jour une vision inattendue de la Mère divine de l'univers. A la suite de cette expérience merveilleuse, elle aspira nuit et jour à s'unir à la Mère divine, possédée d'un désir qui ne lui laissait pas de trève.

Les membres de sa famille et les autres villageois étaient absolument incapables de comprendre les extases de Soudhamani ; elle ne se comportait pas comme une fille normale et fut donc en but à toutes sortes de persécutions.
Elle fut finalement contrainte de quitter la maison familiale et de vivre sans abri. Elle avait pour toit le ciel, pour lit la terre, pour lampe la lune et pour éventail la brise de mer. Tandis que la propre famille de Soudhamani ainsi que les villageois la rejetaient, les oiseaux et les autres animaux lui tinrent compagnie et devinrent ses fidèles amis. Ils lui apportaient de la nourriture et la servaient comme ils pouvaient.

Son père se souvient : «Si je regarde en arrière, je me sens si triste d'avoir tant fait souffrir Amma. Nous ne la comprenions pas. Tous ces signes de divinité, nous les interprétions de travers ou ne les reconnaissions pas. Nous étions complètement déroutés par son comportement. Elle n'était pas comme les autres enfants. »

Soudhamani se livra pendant des mois aux pratiques spirituelles les plus rigoureuses et les plus austères. Elle devint complètement indifférente aux besoins de son corps, se passant bien souvent de manger et de dormir. Tout son être brûlait d'amour pour la Mère divine. Elle embrassait la terre, étreignait les arbres, percevant en tout la Mère divine. Elle pleurait sous la caresse du vent, qu'elle ressentait comme celle de la Mère divine. Elle restait souvent plongée en samadhi (profonde méditation) pendant des heures et parfois des jours, sans manifester le moindre signe de conscience extérieure. La Mère divine apparut enfin à Soudhamani, dans toute Sa splendeur et Sa majesté. Seules les paroles d'Amma elle-même peuvent décrire ce qui s'ensuivit : "Souriante, la Mère divine devint une masse de lumière et Se fondit en moi. Mon mental s'épanouit, baignant dans la lumière multicolore du Divin..." C'est ainsi que Soudhamani s'identifia totalement avec la Mère divine. Peu après, Elle réalisa l'Absolu sans forme et sans attribut. Le son primordial OM, la vibration qui existe dans tout l'univers, jaillissait spontanément de l'intérieur de son être et, pour citer ses propres paroles, elle réalisa que " rien n'est différent de mon propre Soi sans forme, dans lequel l'univers entier existe comme une bulle minuscule. " Soudhamani percevait maintenant tous les aspects du Divin en elle et pouvait les manifester à volonté.

L'essence de l'Inde réside dans sa culture de la réalisation du Soi. Dieu n'est pas perçu comme une entité distincte de l'être humain, mais comme étant sa véritable essence, son Soi supérieur. Seule une personne qui est déjà établie dans la conscience de Dieu peut y amener un homme du commun. Des êtres qui ont atteint la réalisation et l'éveil se sont succédé sans interruption en Inde depuis les temps anciens jusqu'à nos jours, pour conduire ceux qui recherchaient la vérité vers leur but.

Orient et Occident

L'Occidental croit généralement qu'il est un corps doté d'un esprit et d'une âme.
La plupart des Indiens pensent qu'un homme est une âme et un esprit et qu'il a un corps. Cette divergence fondamentale et traditionnelle dans les points de vue est en train de s'effriter. Beaucoup d'Occidentaux, même s'ils jouissent de tout le confort matériel, recherchent aujourd'hui une signification plus profonde à la vie que la simple acquisition de ce confort matériel. Ils recherchent, parfois sans le savoir, des alternatives spirituelles plus profondes et cette recherche en a amené plus d'un en Inde. D'où le rôle d'Amma en tant que maître spirituel en ce monde. Le Christ a dit : « Je suis la lumière du monde». En Inde, cette expression existe depuis l'Antiquité. Le mot "guru" signifie "celui qui dissipe les ténèbres (de l'ignorance) et apporte la lumière (de la connaissance)". Ce sont eux qui enlèvent le voile des ténèbres pour que la lumière du Soi supérieur puisse briller en chaque disciple. C'est alors que nous pouvons expérimenter l'unité de l'univers à travers notre propre essence.

Comme le soleil

Rares sont les âmes éveillées qui peuvent nous conduire vers cette source universelle. Il y a beaucoup d'enseignants capables de nous guider tout au long du chemin, mais seule une personne déjà éveillée peut naviguer dans les eaux trompeuses que nous atteignons quand nous nous rapprochons de plus en plus de la source. Quand le maître parle, il le fait pour éveiller en nous la réflexion profonde et la contemplation. En fait les mots du maître nous indiquent la Vérité. Ses paroles peuvent sembler pleines de paradoxes. L'intellect, incapable de comprendre leur impact, s'abandonne, les processus de pensée s'arrêtent et la vérité qui se trouve au-delà de toutes les facultés mentales se révèle en nous.

Amma exprime des vérités profondes d'une manière simple et maternelle. Elle enseigne à travers l'expérience. Se réfugier sous son aile ne signifie pas la fin de toutes nos difficultés quotidiennes. Mais chaque problème devient un défi pour nous, que nous surmontons par notre effort, notre compréhension et la grâce du maître. Il n'est pas nécessaire de vivre dans un ashram. Le maître travaille sur nous où que nous soyons. C'est cela qui nous permet de surmonter des difficultés majeures, guidés par des principes spirituels. Dans ces moments, le chercheur spirituel sent encore plus la présence du maître. Le guru est comme le soleil, il brille simplement. Il ne peut être autrement. Il brille simplement et celui qui a un cœur ouvert reçoit cette lumière. Dieu est, tout simplement. Il ne met aucune condition et n'a pas de limites. Il donne sans condition. Si la porte de notre cœur est fermée, il n'entrera pas. Il attendra dehors, mais il n'entrera pas par effraction. Il n'est pas agressif. Il attend patiemment parce qu'il est amour.

L'amour est constant, sans interruption. C'est un flot ininterrompu. Le vent ne s'arrête pas pour sentir le doux parfum de la rose ou du jasmin, et ne s'arrête pas non plus de souffler sur la puanteur des excréments. Il n'a pas de préférence et ne fait pas de différence. Il est au-delà de toutes les différences. C'est la même chose pour un Mahâtma (Grande Âme) Il aime tout le monde, accepte tout. Il est, tout simplement. On ne peut pas le diviser en projetant son propre état d'être, qui perçoit des différences, sur lui. Dans l'état de conscience suprême, où le Guru est établi pour toujours, la dualité n'existe pas. Il n'y a pas de contrastes et il n'y a pas d'opposés. Dans la Totalité Unique, toutes les comparaisons et toutes les dualités cessent d'exister. Il y a une contradiction apparente, mais cette contradiction est à l'intérieur de nous.


C'est en 1975 qu'Amma commença à révéler sa véritable mission : soulager la souffrance du monde et guider les pas des chercheurs spirituels. Bien avant cela, Sudhamani se partageait entre une discipline spirituelle rigoureuse et d'innombrables travaux ménagers. La vie de Sudhamani, méprisée et considérée comme une domestique par sa propre famille, fut le parfait exemple de celle d'une « sainte» incomprise et méconnue.

Un évènement significatif se produisit en septembre 75, qui révéla au grand jour un aspect de sa nature divine. Un jour, alors que Sudhamani rentrait à la maison, portant sur sa tête un ballot d'herbe, elle entendit par hasard les derniers versets du Srimad Bhagavatam (le récit de la vie de Krishna) lus dans une maison voisine. La lecture venait de prendre fin et les chants dévotionnels commençaient à peine. Sudhamani s'arrêta brusquement, semblant écouter attentivement les litanies. Soudain, elle se précipita vers la maison où étaient rassemblés les dévots. Elle était submergée de béatitude divine, et son identification avec Krishna métamorphosait ses traits et ses gestes en ceux de Krishna lui-même.

Une partie des villageois fut alors convaincue que la petite Sudhamani était régulièrement 'habitée' par Krishna et dans ces moments-là, ils venaient se confier à 'elle'. Ils constatèrent que les problèmes qu'ils lui avaient exposés trouvaient rapidement une solution et la réputation de Sudhamani commença à grandir.

Aussi extraordinaire que fut cette identification à Krishna, ce ne fut pas le point culminant de la vie spirituelle de Sudhamani. Un jour, peu de temps après cet évènement, elle eut une vision inoubliable d'Adi Parashakti (l'énergie suprême primordiale, la " mère divine "). Cette vision subjugua tant Sudhamani qu'elle ressentit, de tout son être, le désir intense de se fondre dans la Mère Divine. Elle se jeta à corps perdu dans une discipline spirituelle austère et intense. Si l'ardeur des pratiques qu'elle consacra à Krishna fut empreinte d'une profonde dévotion, la discipline spirituelle de Sudhamani pour la Mère Divine, dépassa les limites de la compréhension humaine. Son union transcendantale avec la Mère de l'univers est décrite d'une façon poignante dans le chant «Ananda Veethi ( le chemin de la béatitude ) »

«… La Mère divine, avec des mains douces et lumineuses, caressa mes cheveux. La tête inclinée, je lui dis que ma vie lui était dédiée. Souriante, Elle devint lumière divine et se fondit en moi. Mon esprit s'épanouit, baigné dans la splendeur multicolore de la Divinité, et les événements d'il y a des millions d'années m'apparurent. Dès lors, ne voyant rien séparé de mon propre Soi, un tout unique, et me fondant dans la Mère Divine, je renonçai à tout désir.Mère me dit de demander aux gens d'accomplir leur destinée humaine.Aussi je proclame au monde entier la vérité sublime révélée par Dévi :O homme, réalise le Soi ! »

Sudhamani, devint alors, Mata Amritanandamayi, la Mère de béatitude immortelle.

Elle s'engagea dans sa nouvelle mission et commença à donner des conseils spirituels. Ses qualités de patience, compassion, service, inséparables de sa nature même depuis sa petite enfance, purent se développer pleinement. Sudhamani-Amma manifesta l'amour inconditionnel d'une mère envers tous les fidèles, sans distinction de castes ni de croyances.

Parmi ceux qui, il y a vingt cinq ans, vinrent dans le village de pêcheurs recevoir le darshan d'Amma, se trouvaient ceux qui allaient devenir ses premiers disciples. Ils ressentirent une attirance forte et inhabituelle pour cette femme extrêmement simple et modeste de laquelle émanait un authentique rayonnement spirituel. Ces jeunes hommes et femmes devinrent les premiers résidents du futur ashram, le «Mata Amritanandamayi Math».

Bientôt, à la demande de ses fidèles hors du Kerala et par la suite hors de l'Inde, Amma commença à voyager afin d'aller vers tous ceux qui la réclamaient.

Aujourd'hui, par la force de son amour, Amma est à la tête d'une organisation spirituelle importante et grandissante, constituée d'une vingtaine d'ashrams en Inde et dans d'autres pays. Bien qu'elle ne parle que le malayalam, sa langue natale, Amma montre bien que l'amour ne connaît pas de barrière de langage, la grande diversité raciale et religieuse de ses fidèles en est la preuve irréfutable. Beaucoup comparent le flot torrentiel de son amour aux eaux du Gange, qui descendent en une multitude de rivières, des hauteurs de l'Himalaya vers les vallées ; certaines désaltèrent les âmes assoiffées, d'autres fournissent l'eau qui apporte la vie. La comparaison est tout à fait juste.

Depuis un quart de siècle, Amma a rencontré des gens, tous les jours sans exception. Parfois son darshan dure pendant plus de vingt heures dans une journée. Elle s'est occupée de millions de personnes. Et le nombre ne cesse d'augmenter, à en juger par les queues de plus en plus longues, pendant les programmes où qu'ils aient lieu. Aucun maître n'a jamais été autant accessible, même en Inde, pays qui a été honoré à chaque époque par les plus grands sages.

La vie d'Amma est son seul message. Ni prédicatrice, ni pontifiante, elle est l'incarnation de son enseignement, c'est à dire l'amour inconditionnel et le service désintéressé. En plus des darshan marathons, Amma a mis en place en Inde des projets caritatifs tels que des infrastructures éducatives de tous niveaux offrant une éducation basée sur les valeurs morales, des hôpitaux à faible coût et une aide médicale gratuite, des hospices, des maisons de retraite, des logements gratuits pour les indigents, des aides financières pour les veuves et les victimes des catastrophes naturelles. Ces activités sont la manifestation concrète d'un sentiment qu'Amma exprime souvent : «l'amour et la compassion envers ceux qui sont pauvres et ceux qui souffrent constituent notre devoir envers Dieu. »

Le sacrifice d'Amma est profondément émouvant. Les actes parlent bien plus que les mots. En ces temps où l'intellect est roi, Amma crée une brèche dans la sacro-sainte rationalité cérébrale. Elle offre aux gens de toutes conditions sociales les valeurs authentiques du cœur, recréant un équilibre entre les fonctions de la tête et les qualités du cœur.
Amma voyage à travers toute l'Inde et à l'étranger, accueille toutes les personnes qui viennent à elle, les console et répand son message de paix, d'amour, de compassion et de service désintéressé. Elle est la "personnification" de ce que la tradition de l'Inde comporte de plus noble et de plus élevé - l'incarnation même de la véritable dimension de l'Être Humain


Les Darshan, Bhajans, Puja, Devi Bhava sont des moyens qu'Amma nous offre pour nous rapprocher de nous-mêmes, de notre vraie nature de joie, d'amour et de paix.

Le Darshan
Moment où Amma accueille, en les serrant dans ses bras dans une étreinte singulière, tous ceux qui veulent venir à elle. Instants où l'on peut contempler l'Amour inconditionnel à l'oeuvre et s'imprégner d'un climat de paix et de joie.
Les Bhajans
Les chants dévotionnels sont un moyen de concentrer l'esprit sur le divin. Ces chants font partie de la tradition du bhakti yoga, qui fait appel à l'amour et à la dévotion pour Dieu ou pour le Soi.
Âtma Puja
Rituel d'offrande dans une forme simplifiée à laquelle nous pouvons tous participer, cette puja permet la clarification des pensées et l'ouverture du coeur.
Le Devi Bhava
Darshan particulier au cours duquel Amma incarne plus spécifiquement l'aspect de la «Mère divine», tel qu'il est représenté dans la tradition hindoue. C'est un moment très intense où Amma manifeste d'une façon encore plus évidente son amour et sa compassion pour l'humanité.



Extrait du Site http://www.amma-europe.org

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